中法雙語(yǔ)名著賞析:《包法利夫人》5
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2020-08-11 01:32
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中法雙語(yǔ)名著賞析:《包法利夫人》5
閱讀文章摘要:包法利老先生總算念完醫(yī)藥學(xué)學(xué)科,根據(jù)那樣那般的方法得到 了掛牌上市行醫(yī)的資質(zhì)。而老包法利妻子立即給他們?nèi)⒘艘晃惶?,他也沒(méi)抵制,立即接納了。許多 創(chuàng)作者評(píng)價(jià),這一點(diǎn)就可以看得出,包法利事實(shí)上是一個(gè)依賴性很強(qiáng)的人。一直以來(lái)他的生活全是母親分配的,他在心理狀態(tài)上十分依靠母親,如今,他順理成章地剛開始借助老婆。原文中的選段講的是包法利老先生剛開始在道特Tostes這個(gè)地方行醫(yī),母親為他娶了一位太太,這名太太整盤對(duì)接了包法利老先生的生活。
Mais ce n'tait pas tout que d'avoir lev son fils, de lui avoir fait apprendre la mdecine et dcouvert Tostes pour l'exercer: il lui fallait une femme. Elle lui en trouva une : la veuved'un huissierde Dieppe, qui avait quarante-cinq ans et douze cents livres de rente.
可是把*修養(yǎng)成年人,使他讀醫(yī),幫他在道特掛牌上市行醫(yī),還算不上完:他必須一位太太。她給他們尋找一位:她是第厄普一個(gè)承發(fā)吏的小寡婦,四十五歲,一年有一千二百法郎的收益。
Quoiqu'elle ft laide, sche comme un cotret, et bourgeonne comme un printemps, certes madame Dubuc ne manquait pas de partis choisir. Pour arriver ses fins, la mre Bovary fut oblige de les vincertous, et elle djoua mme fort habilement les intrigues d'un charcutierqui tait soutenu par les prtres.
杜比克妻子雖然長(zhǎng)得不好看,像柴一樣干,像春天出芽一樣一臉肉疙瘩,確實(shí)不缺人嫁。包法利太太以便做到目地,迫不得已一個(gè)一個(gè)排出,甚至是有一個(gè)賣豬肉的,有教士們撐著,她也別具一格,毀壞了他的陰謀。
Charles avait entrevu dans le mariage l'avnement d'une condition meilleure, imaginant qu'il serait plus libre et pourrait disposer de sa personne et de son argent. Mais sa femme fut le matre ;il devait devant le monde dire ceci, ne pas dire cela, faire maigre tous les vendredis, s'habiller comme elle l'entendait, harcelerpar son ordre les clients qui ne payaient pas. Elle dcachetait ses lettres, piait ses dmarches, et l'coutait, travers la cloison, donner ses consultations dans son cabinet, quand il y avait des femmes.
查理認(rèn)為結(jié)了婚,自然環(huán)境改進(jìn),他就隨意了,身體能夠 獨(dú)立,花錢能夠 隨便。殊不知掌權(quán)的是他的太太;他在人眼前,應(yīng)當(dāng)說(shuō)這話,不應(yīng)該說(shuō)這句話;每星期五吃素;順?biāo)乃季w穿著打扮;照她的囑咐迫使不付費(fèi)的患者。她拆他的信,窺探他的行動(dòng),隔著板壁,聽他在診斷室給女性就醫(yī)。
Il lui fallait son chocolat tous les matins, des gards n'en plus finir. Elle se plaignait sans cesse de ses nerfs, de sa poitrine, de ses humeurs. Le bruit des pas lui faisait mal ;on s'en allait, la solitudelui devenait odieuse ;revenait-on prs d'elle, c'tait pour la voir mourir, sans doute. Le soir, quand Charles rentrait, elle sortait de dessous ses draps ses longs bras maigres, les lui passait autour du cou, et, l'ayant fait asseoir au bord du lit, se mettait lui parler de ses chagrins: il l'oubliait, il en aimait une autre ! On lui avait bien dit qu'elle serait malheureuse ;et elle finissait en lui demandant quelque sirop pour sa sant et un peu plus d'amour.
她每日導(dǎo)致要喝朱古力,要他一個(gè)勁兒疼她。她不住嘴埋怨她的神經(jīng)系統(tǒng)、她的肺、她的血?dú)?。步伐響聲刺激性她;人離開了,她嫌孤獨(dú);返回身旁,別說(shuō),是以便看她死。查理夜里回家,她從被子下邊外伸長(zhǎng)細(xì)手臂,攬住他的頸部,要他在床邊坐著,剛開始對(duì)他述說(shuō)她的煩惱:他忘記了她,他愛(ài)他人!別人此前同她講得好,她會(huì)悲劇的;講到*終,她為她的身心健康,問(wèn)起要一點(diǎn)甜藥液,再好來(lái)一點(diǎn)感情。