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La couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique commence à donner des signes de faiblesse, d’après le premier bulletin de l’année consacrée à cette question par l’Organisation météorologique mondiale (OMM). La température de l’air et l’ampleur des nuages stratosphériques polaires, qui ont une incidence sur l’étendue du trou d’ozone, donnent à penser que la destruction de ce gaz en 2011 sera très probablement proche de la moyenne calculée pour la décennie écoulée, bien qu’il soit encore trop t?t pour se prononcer définitivement.
En Antarctique, le fameux trou dans la couche d’ozone est un phénomène annuel qui survient en hiver et au printemps à cause des températures extrêmement basses qui règnent dans la stratosphère et de la présence de substances nocives pour l’ozone. Bien que la communauté internationale soit parvenue à réduire leur production et leur consommation, ces composés chimiques ont une longue durée de vie dans l’atmosphère et il faudra attendre plusieurs dizaines d’années avant que leurs concentrations reviennent aux niveaux d’avant 1980.
D’après le bulletin, la superficie du trou d’ozone au milieu du mois d’ao?t était normale si l’on se réfère aux dernières années – plus grande qu’en 2008 et 2010 mais plus petite qu’en 2009. La fin de la nuit polaire et le retour du soleil en Antarctique devraient accélérer le processus de destruction de l’ozone, mais l’ampleur de celle-ci dépendra dans une large mesure des conditions météorologiques.
L’OMM et la communauté scientifique se fonderont sur les observations de l’ozone réalisées au sol et depuis des ballons-sondes ou des satellites ainsi que sur les données météorologiques pour suivre de près l’évolution de la situation dans les semaines et les mois à venir.
(Interview : Gaeir Braathen, Expert à l’OMM, specialisé sur la couche d’ozone; propos recueillis par Jean-Pierre Amisi Ramazani)
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